Metal Gear – 25 ans d’une saga exceptionnelle

A l’occasion des 25 ans de la saga Metal Gear, je me suis dis qu’il était temps de rattraper mon retard et de me faire tout les épisodes. Oui, j’ai des challenges bizarres. Retour sur une saga indispensable de la sphère vidéoludique, qui a su transformer le jeu vidéo et inspirer de nouvelles franchises.

Décrire cette saga n’est pas chose aisée tellement son scénario est complexe : il s’étale sur huit jeux pour l’histoire principale, ce n’est pas rien. Chaque épisode peut être pris indépendamment pour son histoire propre, mais l’histoire de fond commune à ces jeux est bien plus profonde. Je vais donc aborder les jeux non pas par ordre de sortie, mais par ordre chronologie dans l’histoire. Retour sur cette saga issue du cerveau génial d’Hideo Kojima.

ATTENTION ! De nombreux spoilers seront présents dans la suite ! Si vous n’avez pas fais un des jeux et avez l’intention d’y jouer, passez votre chemin ! Vous êtes prévenus !

Metal Gear Solid 3 : Snake Eater (2004)

L’origine de la saga. MGS3 est considéré comme le premier épisode, celui qui sera la racine de l’histoire de fond de Metal Gear, qui s’étalera sur plusieurs décennies. L’histoire est celle d’un soldat au nom de code « Naked Snake », agent de l’unité FOX, en 1964. Envoyé en URSS dans le cadre de l’opération « Mission Vertueuse », il doit récupérer un scientifique, Sokolov, qui travaille sur un nouveau type d’arme. La mission semble être un succès, jusqu’au moment où Snake est interrompu par son mentor, The Boss, la femme soldat la plus respecté au monde, venant de trahir les USA pour l’URSS. Volgin, son nouveau commandant, tire ensuite une tête nucléaire Davy Crocket sur la base de recherche de Sokolov, provoquant des tensions fermes entre USA et URSS.

L’échec est tel que Snake et son commandant, le Major Zero devront organiser une nouvelle mission, l’opération « Snake Eater », sous peine d’être exécuté. Le but est de récupérer Sokolov, et assassiner la traîtresse, The Boss. La nouvelle arme de Sokolov, utilisée par Volgin, devra également être détruite, car elle menace la paix mondiale.

Cet épisode fais aussi découvrir « l’héritage des philosophes », une quantité d’argent colossale accumulée par des nations alliées lors des guerres mondiales, convoitise de Volgin, et au centre de la saga Metal Gear.

MGS3 est un épisode marquant de la série, car le premier dans l’ordre chronologique, mais aussi par son ambiance unique et ses mécaniques de jeu innovantes (adapter son camouflage, et manger des animaux sauvages et plantes pour survivre). Les boss rencontrés en jeu peuvent être battus de plusieurs façons, et tous ont une histoire propre et développée. Le scénario est vraiment prenant, avec la relation entre Snake et son mentor, et l’incompréhension de sa trahison, elle qui était une réelle patriote américaine. Naked Snake héritera du titre de Big Boss après cette funeste mission.

Un autre personnage récurrent de la série fais aussi son apparition, Ocelot, encore un jeunot, agent double pour les Philosophes, l’organisation à qui appartiens l’héritage.

Finalement, on y découvre le premier « Metal Gear » de l’histoire, le Shagohod, un char rapide capable de propulser un missile balistique sur plus de 10000 kilomètres, en atteignant les 650 km/h grâce à ses fusées.

Metal Gear : Portable Ops (2006)

Premier volet suivant la continuité de l’histoire sur PSP, Metal Gear Portable Ops a de bonnes idées mais est un peu le mouton noir de la série.

Le jeu suis Naked Snake en 1970, en Amérique du sud. L’unité FOX n’est plus aux ordres de la CIA et est devenu rebelle. FOX prend Snake pour cible, afin d’obtenir la seconde moitié de l’Héritage des Philosophes, manquante lors de l’opération « Snake Eater ».

On y fera la connaissance de personnages qui deviendront importants par la suite, tel que Roy Campbell. Après avoir contacté ses anciens partenaires de FOX depuis une tour radio, il apprend que le Major Zero et lui même sont accusé d’avoir organisés la rébellion de l’unité FOX. La seule solution est de vaincre Gene, le vrai instigateur de cette révolte, afin de laver leur honneur.

Le style graphique est cependant intéressant, surtout lors des cinématiques, au look de comics américains, et parfois interactifs.

MPO est un Metal Gear peu apprécie des fans. Bien que de nouvelles mécaniques de jeu soient présente, comme le recrutement de troupes pour agrandir votre armée, son scénario est simplifié à l’extrême et sa maniabilité, dû à la PSP, en font un jeu bancal dans la série. Ce qui est dommage, car on apprend beaucoup de choses sur la création de la nouvelle unité FOXHOUND. Le Metal Gear affronté dans ce volet est aussi peu inspiré, Metal Gear RAXA. Le seul point fort du titre est son mode multijoueur. Il s’agit d’un épisode qui finalement peut être ignoré si seul le scénario vous intéresse. Dommage.

Metal Gear Solid : Peace Walker (2010)

Le jeu se passe en 1974, toujours avec Naked Snake. Cette épisode reviens sur la création d’un état de soldats libres, Outer Heaven, et rêve de The Boss, repris par Snake. Au Costa Rica, une armée inconnue a pris la nation en otage, ils y ont également amené des ogives nucléaires, et une étrange machine appelée Peace Walker, afin de faire la preuve de leur nouvelle arme de dissuasion. L’aide de Snake et de son armée MSF (Militaires Sans Frontières) est demandée par Paz et son tuteur, Ramon Galvez, qui s’avérera être un agent du KGB.

L’armée inconnue est en fait une section rebelle de la CIA, voulant créer un monde de paix par la dissuasion nucléaire, grâce à une IA capable de riposter sans hésitation, contrairement aux humains. Une troisième guerre mondiale est sur le point d’éclater sors du combat de Snake contre le Metal Gear Peace Walker…

Le jeu reprend les bases de MPO, mais les améliore grandement, bien que restant sur PSP. La gestion d’armée est là, ainsi que la construction de votre propre Metal Gear Zeke, à partir des pièces de robots vaincus en mission. La progression se fait par mission, presque à la façon d’un Monster Hunter, auquel MGS:PW emprunte beaucoup. Chaque mission est jouable jusqu’à quatre en coopération, et de nombreuses missions annexes sont présente pour rallonger la durée de vie déjà conséquente. La narration est reprise de MPO, avec le style comics encore plus convainquant.

Metal Gear (1987)

Le premier jeu sorti en 1987 sur MSX2 pour cette saga Metal Gear.

Le jeu est centré sur un autre soldat, au nom de code Solid Snake, lors d’une mission en 1995. Il est envoyé par Big Boss, qui dirige FOXHOUND afin d’enquêter sur la disparition d’un agent de reconnaissance, Grey Fox. Les derniers mots transmis par cet agent sont « Metal Gear »… depuis la base de Outer Heaven en Afrique. Après infiltration et la découverte, puis la destruction du Metal Gear TX-55, Solid Snake apprend la vérité sur les intentions de Big Boss.

Il est finalement piégé dans la base dirigée par ce dernier, qui voulait seulement le laisser prendre de fausses infos. Mais Solid Snake ayant été trop loin, un combat sans pitié à lieux entre les deux soldats lors de l’autodestruction de la base de Outer Heaven.

Malheureusement, Big Boss survit et promet de se venger de Solid Snake…

Le jeu est une révolution pour l’époque. En 2D vu de dessus, il introduit les systèmes d’alerte propre à la série avec ses différentes phases de vigilance des soldats ennemis. Sa narration est aussi de très bonne qualité par rapport aux jeux de cette époque.

Metal Gear 2 : Solid Snake (1990)

Solid Snake, envoyé par son nouveau commandant, Roy Campbell, doit dans ce volet infiltrer Zanzibar Land en 1999, un territoire ultra défendu d’Asie, afin de sauver un scientifique et détruire le Metal Gear D. Le dirigeant de Zanzibar Land souhaite contrôler les ressource pétrolières du monde suite à plusieurs chocs pétroliers. Grey Fox y refais une apparition en tant que pilote du Metal Gear D, alors que Solid Snake le pensait mort. Un dernier combat, victorieux, avec Big Boss, permet de mettre fin à cet incident. Big Boss est bel et bien mort, et Solid Snake quitte FOXHOUND.

Le jeu prend une continuité directe avec Metal Gear, autant en gameplay qu’en graphismes. Le tout reste agréable et bien au dessus des production contemporaines, avec toujours un scénario travaillé.

Metal Gear Solid (1998)

MGS pour les intime est un des jeux phares de la série. Vous reprenez le rôle de Solid Snake en 2005 après avoir plaqué l’unité FOXHOUND. Roy Campbell vous demande une faveur, reprendre du service pour contrer une révolte sur l’île de Shadow Moses. L’armée de soldats génomes, génétiquement modifiés, et sous le commandement de FOXHOUND prends le contrôle de la base en Alaska, sous les ordres de Liquid Snake. Episode riche en révélation, on y apprend que Solid Snake et Liquid Snake sont en fait des clones de Big Boss créés dans l’expérience « Les Enfants Terribles » menées par le Major Zero, en 1972, et contre la volonté de Big Boss. Cette expérience avait pour but de créer un clone du plus grand soldat de tout les temps. Liquid Snake a pour projet de lancer une ogive afin de faire échouer les négociations de réduction des armes nucléaires, le tout à l’aide de Metal Gear Rex, conçu par Hal Emmerich (Otacon).

Un mystérieux Ninja fera également son apparition, et se révélera être Grey Fox, ayant de sérieux troubles de personnalité suite à sa transformation en cyborg lors d’horribles expériences.

MGS est un épisode marquant sur plusieurs point. Il est le premier épisode en 3D de la série, et réussi cela de bien belle manière. Il supporte la nouvelle manette de Sony avec joystick et retour de force, utilise non pas un mais deux CD-ROM. Mais c’est aussi une révolution visuelle. Bien que ses textures soient pixelisées, le jeu adopte la plupart des codes du cinéma et nous propose des scènes narratives du plus bel effet, d’autant que le jeu est totalement doublé, du début à la fin. On aura même droit à des voix française, d’assez bonne facture même si certaines répliques sont bancales. Sa partie musicale est également une des meilleures, avec des thèmes impossible à oublier.

MGS va surtout inspirer de nouvelles franchises d’infiltration, comme Splinter Cell (2002) ou Hitman (2000).

Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty (2001)

Un autre épisode un peu mal aimé de la série au même titre que MPO. Le jeu est scindé en deux parties. D’abords, Solid Snake, s’infiltrant sur un tanker militaire traversant Manhattan en 2007. Snake et Otacon font partie de l’organisation Philantropy, dont le but est d’empêcher la création et la propagation d’armes de type « Metal Gear ». A la réception d’informations présumées fiables, Snake se retrouve sur ce tanker de l’armée Américaine, qui sera bien vitre attaqué par un commando russe. Lors de la découverte du Metal Gear Ray en cale, Liquid Ocelot fais son apparition et vole le Metal Gear Ray, coulant le tanker et trahissant le commando russe. Ocelot ayant perdu son bras dans MGS, et pris celui de Liquid Snake comme greffe, il est maintenant possédé par l’esprit de Liquid Snake.

Deux ans s’écoulent, on s’attend à retrouver Solid Snake, mais c’est finalement Raiden qui sera notre personnage principal, en 2009. Le tanker à pollué la baie de Manhattan, et la Big Shell, grosse construction maritime, a été mise en place pour endiguer la pollution engendrée par le naufrage. Un groupe terroriste, les Sons of Liberty, prend d’assaut la Big Shell lors de la visite du président. Son leader, Solidus Snake, n’est autre qu’un troisième clone caché de Big Boss.

Après une tentative de destruction à l’explosif de la Big Shell, on découvre enfin sa réelle utilité. Il ne s’agit en fait que de la surface visible de l’Arsenal Gear : une énorme machine ayant pour but de gérer la riposte nucléaire en mer depuis n’importe quel endroit, et de contrôler les communications mondiales, ainsi que les nanomachines des militaires. Elle est créée dans le seul but de servir les Patriotes, anciennement appelés les Philosophes.

Episode controversé car le personnage central n’est pas Solid Snake, ce qui a fortement déçu les fans, cet élément de gameplay ayant été gardé secret jusqu’à la sortie du jeu. Cela ne l’empêche pas d’être bon, malgré sa fin un peu confuse.

Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots (2008)

Dernier volet chronologiquement, cet épisode clôture la série et ne laisse aucune question en suspens. En 2014, Liquid Ocelot est suspecté de diriger les cinq plus grands Sociétés Militaires Privées au monde, afin de recréer Outer Heaven, la nation libre de Big Boss. Les avancées technologiques ont bien changé le champ de bataille. Chaque soldat possède des nanomachines, régulant ses émotions et réactions, bloquant l’usage d’armes qui ne lui sont pas autorisées, ou bien de véhicules. L’économie de guerre règne en maître. Le tout est contrôlé par quatre intelligences artificielles, ou plutôt trois, Arsenal Gear étant détruit. L’ennemi n’est plus vraiment un robot géant, mais un robot de l’infiniment petit. L’ère de la dissuasion est terminée et à laissé place à l’ère du contrôle. Suite à une requête de Roy Campbell, Solid Snake, reprend du service pour arrêter Liquid Ocelot et ses envies de domination. Solid Snake, est plutôt Old Snake dans cet épisode. En effet, étant un clone, il est maintenant atteint de vieillissement accéléré. Il est maintenant aidé d’une combinaison OctoCamo, qui l’aide à se déplacer et à se cacher.

Dans ce volet, l’infiltration est moins présent et la part belle est faite à l’action. Les champs de bataille sont plus vivants du fait des milieux urbains. L’aspect cinématique est encore renforcé, et certaines scènes sont très longues. La fin dure même deux heures pour le dénouement et répondre à toutes les questions que vous avez concernant Big Boss, les Patriotes, et tout le reste. N’oublions pas son combat final tout bonnement épique et qui fais référence aux trois épisodes précédents.

MGS4 a été très bien reçu des joueurs et comporte des moments épiques, comme un retour en Alaska dans la base de Shadow Moses. Le statut de Old Snake, bien que expliqué et justifié a pourtant été assez mal pris, mais ne gène pas pour autant l’histoire.

Rarement une saga n’aura eu de conclusion aussi épique à son histoire.

Metal Gear et ses combats

Ce qui fais aussi l’attrait de la saga Metal Gear, c’est ses combats contre les boss. Que l’on soit en combats à pied contre un immense Metal Gear, ou à main nue contre Liquid Snake, chaque combat est unique et épique. Se mesurer à Shagohod dans MGS3 lors d’une course poursuite en side-car en le maltraitant au lance roquette est une expérience unique. Hideo Kojima sais trouver la bonne approche pour rendre chaque moment du jeu inoubliable, en faisant appel aux sentiments du joueur lors de l’action.

Le rejet de la guerre et du nucléaire

Malgré son thème très militaire, la saga Metal Gear ne prône en aucun cas la guerre. Bien que l’on puisse progresser en tuant ses ennemis, il est possible de faire la majorité des jeux sans tuer un seul ennemi (boss exceptés). Le choix est toujours laissé au joueur, qui peux utiliser des armes tranquillisantes, ou assommer des soldats pour les rendre inoffensifs. L’aspect du nucléaire est aussi très souvent abordé, Metal Gear étant en général un char bipède doté de capacité de lancement pour les bombes atomiques. A chaque fois le nucléaire est vu comme une arme de dissuasion devant être au final supprimée, car bien trop dangereuse pour la paix.

Des musiques envoûtantes, des doubleurs compétents

Ce qui fais aussi un bon Metal Gear, c’est ses musiques. Plusieurs compositeurs se sont succédé et ont fait un travail magistral. Que ce soit Harry Gregson-Williams, Tappy, ou Norihiko Hibino, pour ne citer qu’eux. Chaque thème respecte la situation qu’il illustre sans l’éclipser. Les musiques sont présentes mais pas énervantes.

D’autres musiques sont aussi utilisées comme thèmes principaux pour les jeux Metal Gear, comme « Snake Eater » de Cynthia Harell, « Heavens Divide » de Donna Burke et « The Best is Yet to Come » d’ Aoife Ní Fhearraigh. Ces musiques arrivent toujours au bon moment dans les jeux. 🙂

Enfin il ne faut pas oublier son cast pour les doublages, qui est exceptionnel en anglais. Les doubleurs sont fidèles au poste et reprennent leur personnage à chaque épisode pour certains, comme David Hayter, la voix de Snake, et ce dans tout les épisodes doublés. Vraiment appréciable.

Et après ?

Metal Gear a pour sa série principale huit jeux, mais d’autres sont sortis, Comme Metal Gear Ac!d sur PSP ou Ghost Babel sur Gameboy Color. La saga ne s’arrête pas ici, et Metal Gear Rising Revengeance est prévu, centré sur le personnage de Raiden, devenu un cyborg dans Metal Gear Solid 4. Metal Gear Solid 5 a aussi été annoncé par Hideo Kojima ! En bref, cette série n’a pas fini de nous émerveiller. La série aussi de nombreux niveaux de lecture et de nombreuses informations, surtout sur les événements entre les jeux, peuvent être trouvées dans différents guides. Je n’ai pas donné toutes les informations dans ce dossier afin de ne pas tout vous gâcher !

Sachez aussi que pour les 25 ans de la série, MGS4 est mis à jour pour supporter les trophées sur PlayStation 3, et ce à partir d’aujourd’hui, avec un nouveau patch !

J’espère vous avoir donné envie de découvrir cette série, qui est une pierre angulaire du jeu vidéo moderne. Et pour ceux qui connaissent, quel est votre Metal Gear préféré ? Et pourquoi ?

Author: keitaro

Joueur de jeux vidéos en tout genre, et sur toute plateforme, fan d'animé, et de manga, j'essaie de partager mes découvertes et coups de coeur sur BakaGamer. Toujours en retard sur les sorties du moment, évidement.

5 thoughts on “Metal Gear – 25 ans d’une saga exceptionnelle

  1. Pour ma part, mon Metal Gear préféré est MGS3. Le rythme du jeu est vraiment bon, et on assiste à la naissance d’un grand héros, Naked Snake.
    MGS1 serait le suivant, avec ensuite MGS4.

  2. J’avais une préférence pour MGS2, n’ayant jamais touché au 3, et lors de la sortie de la HD collection, j’ai pris une claque. MGS3 est vraiment l’épisode le plus épique de la saga.

    MGS est et restera une saga à part pour moi, surtout que c’est mon meilleur ami qui me l’a faite découvrir, elle représente énormément pour moi.

    J’espère juste que MGS 5 ne sera pas l’épisode en trop, comme c’est le cas dans de nombreuses séries

  3. C’est à espérer, il semblerait que ce soit centré sur Solid Snake, j’espère qu’il va pas le ressortir de la tombe :p

  4. Je ne trouve pas que ce jeu soit vraiment très captivant. Je ne sais pas pourquoi ! Il ne m’attire pas, je trouve le personnage moche ! L’histoire aurait pu être passionnante, mais pour un jeu je trouve cela moyen.

  5. J’ai decouvert MGS avec Peace Walker et une video dessus avec Heaven’s Divide. Et j’ai eu le gros coup de coeur donc je joue a ceux sur PSP puis PS1 🙂

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